Qu'est-ce que l'environnement Linky ?
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Qu'est-ce que l'environnement Linky ?
Le Linky est un nouveau système de captation des données domestiques concernant les activités liées à l'électricité. Son étendue théorique de compétence est de 95% du territoire français, les 5% restants étant gérés non par Énédis, mais comme au tout départ par des syndicats locaux qui pour diverses raisons (notoriété et solidité, ou gestion de zones géographiques difficiles) sont restés indépendants.
Le siège de gestion est à Lyon, qui collecte les données venues des 4 ou 6 coins de l'hexagone (hum ?) par de grandes antennes, qui répercutent ce que leur ont envoyé les concentrateurs (gestionnaires de "grappes" de capteurs d'un immeuble, d'une rue, d'un quartier, d'un village). Ces concentrateurs émettent à 2,4 GHz vers les grandes antennes situées sur des lieux élevés (immeubles, monuments, châteaux d'eau...).
Depuis les concentrateurs, des interrogations très rapprochées sont lancées, pour vérifier que la grappe est opérationnelle. Elles utilisent le Courant Porteur en Ligne, en modulant les réseaux électriques (calibrés pour le 50Hz, mais acceptant le simple signal très bref à 175 Hz servant à commuter les tarifs jour-nuit) aux alentours de 60 à 90KHz. Ces interrogations ont lieu jour et nuit, une ou deux fois par minute pour chaque capteur, ce qui se rapproche, en pulsé, d'un va-et-vient quasi continu de PING. De plus les capteurs les plus proches du concentrateur se chargent de renforcer le signal vers les plus éloignés, ce qui augmente la redondance. Les réseaux domestiques en sont affectés, parce qu'il n'y a plus aucun filtre dans le circuit, du concentrateur au capteur et vice-versa (car il répond) mais aussi du capteur à la veilleuse de Bébé. S'il est à moins de 2 mètres des fils d'alimentation, il en est affecté sans le savoir.
Bien insister là-dessus : le Linky ne fait qu'émettre et répondre aux signaux en CPL, c'est le réseau électrique non blindé (très rares sont les installations blindées) qui émet en raison du caractère pulsé des signaux. Contenant de l'eau, la plupart des êtres vivants eux aussi reçoivent par induction ces ondes, et peuvent réagir à cela à plus ou moins long terme (quelques heures, ou quelques années selon les métabolismes).
Accessoirement, sur demande du concentrateur lui-même piloté par Lyon, les capteurs régurgitent en un message assez bref les données accumulées depuis le dernier envoi. Comme il a été prouvé par des essais (non officiels) nombreux, ce renvoi de données plusieurs fois par jour permet de calculer la courbe de charge, ou dit autrement quels appareils (bien spécifiques) ont servi, pendant combien de temps. Au minimum, cela permet de savoir si les habitants sont là.
Enfin, par la bande, c'est ainsi que les capteurs répercutent l'index "du compteur", sachant que le mode de calcul en KVA par une petite résistance calibrée n'est pas homologable par des services de la métrologie. Ou qu'on nous démontre le contraire officiellement. D'ailleurs, cela pourrait expliquer que de nombreux usagers se retrouvent à des "consommations" soit trop basses, soit pharamineuses sans rien avoir changé à leurs habitudes.
Le siège de gestion est à Lyon, qui collecte les données venues des 4 ou 6 coins de l'hexagone (hum ?) par de grandes antennes, qui répercutent ce que leur ont envoyé les concentrateurs (gestionnaires de "grappes" de capteurs d'un immeuble, d'une rue, d'un quartier, d'un village). Ces concentrateurs émettent à 2,4 GHz vers les grandes antennes situées sur des lieux élevés (immeubles, monuments, châteaux d'eau...).
Depuis les concentrateurs, des interrogations très rapprochées sont lancées, pour vérifier que la grappe est opérationnelle. Elles utilisent le Courant Porteur en Ligne, en modulant les réseaux électriques (calibrés pour le 50Hz, mais acceptant le simple signal très bref à 175 Hz servant à commuter les tarifs jour-nuit) aux alentours de 60 à 90KHz. Ces interrogations ont lieu jour et nuit, une ou deux fois par minute pour chaque capteur, ce qui se rapproche, en pulsé, d'un va-et-vient quasi continu de PING. De plus les capteurs les plus proches du concentrateur se chargent de renforcer le signal vers les plus éloignés, ce qui augmente la redondance. Les réseaux domestiques en sont affectés, parce qu'il n'y a plus aucun filtre dans le circuit, du concentrateur au capteur et vice-versa (car il répond) mais aussi du capteur à la veilleuse de Bébé. S'il est à moins de 2 mètres des fils d'alimentation, il en est affecté sans le savoir.
Bien insister là-dessus : le Linky ne fait qu'émettre et répondre aux signaux en CPL, c'est le réseau électrique non blindé (très rares sont les installations blindées) qui émet en raison du caractère pulsé des signaux. Contenant de l'eau, la plupart des êtres vivants eux aussi reçoivent par induction ces ondes, et peuvent réagir à cela à plus ou moins long terme (quelques heures, ou quelques années selon les métabolismes).
Accessoirement, sur demande du concentrateur lui-même piloté par Lyon, les capteurs régurgitent en un message assez bref les données accumulées depuis le dernier envoi. Comme il a été prouvé par des essais (non officiels) nombreux, ce renvoi de données plusieurs fois par jour permet de calculer la courbe de charge, ou dit autrement quels appareils (bien spécifiques) ont servi, pendant combien de temps. Au minimum, cela permet de savoir si les habitants sont là.
Enfin, par la bande, c'est ainsi que les capteurs répercutent l'index "du compteur", sachant que le mode de calcul en KVA par une petite résistance calibrée n'est pas homologable par des services de la métrologie. Ou qu'on nous démontre le contraire officiellement. D'ailleurs, cela pourrait expliquer que de nombreux usagers se retrouvent à des "consommations" soit trop basses, soit pharamineuses sans rien avoir changé à leurs habitudes.
Jean-Claude- Messages : 1
Date d'inscription : 27/04/2021
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